SCIC, une entreprise pas comme les autres !​

En devenant sociétaire, vous détenez une ou plusieurs parts sociales dans le capital d’une des coopératives du réseau Citiz.

En Gironde, le service Citiz est opéré par la coopérative Autocool.

Notre activité est sans but lucratif, nous réinvestissons les excédents pour le développement du service : le partage de voiture.

Nous sommes nombreux à porter ce projet d’utilité sociale ! Détenteurs du capital de la société, utilisateurs, salariées et salariés, partenaires privés, partenaires publics investissent concrètement en acquérant des parts sociales, permettant ainsi de financer nos activités et profitant d’avantages à l’usage du service.

Chaque sociétaire représente 1 voix et participe démocratiquement aux décisions d’orientation du service lors des assemblées générales.

Moins de voitures sur le territoire, c’est moins de circulation automobile et plus de place pour d’autres usages. L’autopartage coopératif, durable et solidaire, c’est Autocool.

Assemblée générale Citiz en Gironde

Pourquoi une SCIC ?

La SCIC (Société Coopérative d’Intérêt Collectif) s’inscrit dans une démarche d’utilité sociale et environnementale.

Ce modèle nous permet de rassembler autour d’une même vision des acteurs variés : utilisateurs.trices, collectivités, entreprises, associations et salarié.e.s.

Opter pour une SCIC, c’était garantir que l’entreprise reste au service de l’intérêt général, grâce à des excédents réinvestis dans son développement et des réserves impartageables, qui assurent notre indépendance et notre pérennité.

Ce statut nous permet également d’associer nos utilisateurs à la gouvernance du projet en leur donnant un rôle actif dans les décisions, tout en leur offrant des tarifs justes.
Dans le cadre de notre activité d’autopartage, le modèle s’inscrit pleinement dans une logique d’utilité publique, respectueuse de l’environnement et en cohérence avec les politiques de mobilité durable.

C’est quoi une part sociale ?

Une part sociale est une fraction du capital social de la coopérative. Contrairement aux actions, elle n’est pas spéculative et ne peut être revendue qu’à la SCIC en cas de départ.

Le capital est réparti entre plusieurs collèges, regroupant différents types d’acteurs (utilisateurs, salariés, collectivités, partenaires privés, opérateur des transports publics), garantissant une gouvernance équilibrée.

En achetant des parts sociales, vous n’êtes plus seulement consommateur.trice d’un service : vous soutenez le développement de l’autopartage localement et contribuez au financement des véhicules.

Nos sociétaires témoignent

  • La coopérative permet de ne pas se placer dans une logique financière. Ce qui m’a convaincu de devenir sociétaire : le bon fonctionnement de la coopérative et sa correspondance à mes idées.

  • C’était logique d’être sociétaire en plus d’être usager, pour contribuer à la pérennité et au développement du service. Le statut de coopérative, c’est la garantie que le service répond aux besoins de ces usagers, qui sont impliqués dans la gouvernance.

  • Je trouve que c’est aligné avec le service proposé et la nécessité de trouver des formes de mobilité partagées dans des villes toujours plus denses et des énergies toujours plus rares. Tout ceci ne peut pas se faire dans une démarche capitaliste qui vise à toujours accroître le capital. Il faut un statu permettant à l’activité d’être rentable mais surtout de toujours proposer un service accessible.

  • C’est humain et géré par des gens utilisateurs comme nous qui on le soucis de bien faire a bon escient.

  • Le statut de société coopérative garantit que les décisions sont prises dans l’intérêt des utilisateurs du service et que le prix est juste. Ce qui m’a convaincu de devenir sociétaire : la baisse de la cotisation mensuelle, et la satisfaction de participer à la transition écologique.

  • Ce statut de coopérative est important afin de contribuer à une économie qui n’a pas la croissance du profit pour seule boussole. C’est un projet qui a beaucoup de sens pour moi et cela permet également de diminuer les mensualités de l’abonnement.

Interview de Céline Lemercier, sociétaire, lors d’une rencontre organisée le 16 novembre 2022

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